Il ne manquait plus que lui...

Après la Haute Autorité en Santé, vous savez, cette éminente institution française qui a mis plus de deux mois à homologuer les tests sérologiques de détection du virus, après 28 000 morts constatés, mais qui a mis moins de 48h à déclarer dangereux le traitement à la Chloroquine de la maladie, voilà que M. Alain Finkielkraut, fine fleur de l'imposture en philosophie, s'y met...

Le vieux pseudo-philosophe aux airs de Coker battu s'en prend lui aussi au professeur Raoult :  "je reproche au professeur Raoult d’avoir en quelque sorte diffamé le scrupule… » : toujours aussi abscons, fumeux, sentencieux, son Académique Suffisance Finkielkraut !
 « Ce professeur, ajoute-t-il,  nous a présenté un traitement quasi miracle, jonction entre la pensée savante et la pensée magique, et a refusé les essais cliniques » ajoute l'ignare en infectiologie, qui est cependant un spécialiste de l'infection de la pensée avec les déclamations vaseuses dont il est coutumier.
 
Pour Alain Finkielkraut, Didier Raoult pense que « la France d’en haut et la France d’en bas forment deux mondes irréconciliables et que le premier doit disparaitre pour que le second puisse être totalement souverain », se faisant en faussaire-expert qu'il est de la pensée d'autrui, l'interprète évidemment malhonnête des propos du professeur de médecine.
Il juge cette attitude "extraordinairement dangereuse". Pratiquant l'amalgame, vieille méthode qui lui est coutumière, il affirme que le professeur Raoult est entouré de gens qui disent « qu’il est le vengeur masqué de la France d’en bas, ceux qui opposent la province à Paris, l’intuition à la méthode, la liberté au système et le peuple à l’élite ».
Et lui, triste sire, de qui est-il entouré ? Le vide sidéral de sa pensée, habillé de verbiage philosophique, séduit moins que le discours empiriste s'inscrivant dans la lignée de grands médecins tels le grand Claude Bernard, qui est celui de Didier Raoult. Il en est jaloux, ce vieil hanté de la notoriété salonnarde, ce coucou des nids médiatiques où il vient pondre ses oeufs vides.

En fait et pour finir, il y a le médecin qui soigne et le philosophe d'appartement du Vème arrondissement,  qui s'essaie à pontifier, le ridicule.

Je zappe quand sa face torturée apparaît à l'écran, par malchance, laissant voir les tics qu'il cultive, pensant mimer Malraux. Sauf que le génie, M. Finkielkraut, ne se résume pas aux mouvements intempestifs sur un visage : ça se saurait.

 

Retour à l'accueil