Qu'on se souvienne : il y a 10 jours, à peine nommé, Alain JUPPE exprimait ses plus expresses réserves sur une opération militaire en Lybie, qui, selon lui, pourrait susciter des réactions hostiles des peuples arabes. 8 jours plus tard, Nicolas Sarkozy était à Bruxelles et plaidait pour des frappes aériennes. Le ministre des affaires étrangères, sous l'actuel quinquennat, est peu de choses...

Retour à l'accueil